cpourlavie

C'est l'histoire d'un mec, bien sous tout rapport, un mec plutôt pas mal physiquement. Il semble heureux, vit en couple, avec une femme qu'il aime, ça se voit. Elle est belle, ils sont toujours souriant, leur porte est grande ouverte à leurs amis.

Qu'à donc ce mec de si spécial. Oh trois fois rien, juste qu'il n'est pas aussi bien dans sa tête qu'il veut bien le faire croire. Qu'est ce qui le gène tant?

Des malheurs tout le monde en a connu, et les gens vivent avec. Mais lui aussi vit avec, sauf que parfois cela remonte à la surface comme cela d'un coup et que cela ne le quitte pas pendant plusieurs jours. Le seul moyen qu'il ait trouvé pour soulager sa conscience est d'écrire à des inconnus pas totalement inconnus qui ne le jugent pas, qui le conseille même parfois.

Comment ces troubles sont de nouveaux apparus, quand il vous dit que c'est bizarre, vous allez pouvoir en convenir.
Figurez vous qu'hier soir, la soirée avec son amoureuse se passait parfaitement bien, à tel point qu'ils se sont retrouvés nus dans leur lit dans des positions pas trés catholiques.
Excités comme il était le mec a proposé à sa belle de la sodomiser. Elle était d'accord, elle ne refuse pas souvent car quand elle est bien excitée, elle apprecie elle aussi cette pratique.

Le mec se retrouve donc dans les fesses de sa belle mais voilà à un moment, il a comme un flash. Il met rapidement des mots sur ce flash. En effet, lui aussi a déjà été enculé, même qu'il n'avait pas aimé du tout. Bon il est vrai qu'il n'avait pas choisit et le bourreau y allait quand même fort. C'est pourquoi le mec a décidé depuis toujours quand il sodomisait une belle de le faire avec le plus de douceur possible. Il a aussi décidé, de ne jamais forcer une belle à faire quelque chose dont elle n'a pas envie.....

Cela n'empèche pas, qu'il a arrêté de sodomiser sa belle, elle n'a pas compris car habituellement, ils finissent par jouir ainsi tout les deux en même temps. Non, il a arrêté, et la prise plus calmement, dans son sexe, en douceur en la serrant contre lui. Cela l'a rassuré....

Ben oui maintenant ce mec, il a toujours besoin d'être rassuré......
C'est l'histoire d'un mec...................................

Je sais, je sais cela fait longtemps que je n'ai pas écris et en cette période de fêtes, je me demande si je suis lu et c'est bien là le problème. Je n'arrive pas actuellement à écrire juste pour moi, j'ai besoin de partages. Si je ne suis pas lu, si mes écrits ne sont pas commentés et bien j'ai du mal.

Ne vous m'éprenez pas, je ne recherche pas une pseudo célébrité sur le net, non ce n'est pas cela. Je recherche avant tout du partage, un grand partage, des discussions avec les autres. Car moi je suis comme cela, dans tout ce que je fais. Dans tout ce que j'entreprends, même dans mon travail, il faut du partage. Sinon cela ne m'interesse pas.

Donc quoi vous écrire aujourd'hui qui puisse vous inspirez, qui puisse vous plaire et qui vous donne envie de me répondre, qui vous donne envie d'échanger avec vous?

Des choses sexuelles? Des choses encore plus intimes comme ce qui se passe dans mon esprit actuellement? Ou bien alors encore pire, vous contez mes tourments, les sévices que j'ai vécus plus jeune?
Car aujourdh'ui j'ai un problème et ce problème même si je suis heureux, je l'aurais toujours au moment des fêtes. Et bien oui je ne suis pas heureux pendant ces périodes, car tout ces souvenirs sombres me reviennent en tête et je l'ai prends de plein fouet et ça fait mal.

Donc comme je n'ai pas trop envie de vous gachez à vous vos fêtes et bien je me tais.......En attendant que cela aille mieux.

A moins que vous souhaitiez lire quelque chose de plus interessant, entrainant, drole ou joyeux. Si c'est le cas, faites le moi savoir cela me ferait un bien fou d'écrire du futile, du drole, de l'excitant pour vous qui me le demandez.....

Je vous embrasse et a bientôt j'espère

Votre cher TomTom

Petite reflexion journalière, petite interrogation quotidienne, que la vie est belle!!!! mais pourquoi?

Je passe mon temps à refléchir et je peux vous dire que ce n'est pas un activité de tout repos. Je fais partie des gens angoissés. Vous savez ces gens qui se prennent la tête même quand tout va bien, surtout quand tout va bien d'ailleurs. 
Une belle vie comme la mienne ce n'est pas normal, il doit avoir une arnaque quelque part que je n'ai pas encore décelé.

Et si l'anarque en fait c'était moi? 
Voila le type de questions que je me pose. 
Drôle d'introduction pour cet article, je vous le concède, mais je voulais que vous compreniez un peu plus ma personnalité, tout simplement.

Bon venons en au sujet qui vous interesse un peu plus et qui fait que vous me lisez actuellement. Pas besoin de faire les mijorés, je vous vois!!!

Le cul, le sexe, l'amour, la luxure, pourquoi nous aimons tant cela, pourquoi certains sont prés à sacrifier une vie parfaite pour une histoire de cul? 
Je me suis toujours posé la question. Certes les relations sexuelles apportent énormement de plaisir mais quand même. Pourquoi cela nous obsede tant. En même temps je dis nous mais cela se trouve ça n'obsede que moi .

Ben oui moi, si je ne fais pas l'amour régulièrement au bout de quelques jours je suis en manque et je deviens parfoit chiant. Je me prends encore plus la tête. Le sexe pour moi fait figure de thérapie. Bon c'est vrai j'ai eu quelques problèmes et en plus en rapport avec la sexualité, mais c'est le seul médicament qui me soigne, qui me calme à coup sur. 
En effet j'ai longtemps pris des anxiolytiques pour calmer mes angoisses, mais au bout d'un moment avec Juliette nous avons décidé que ce n'était pas particulièrement sain pour moi car je l'avais elle. Pleine de douceur et de calme.
Quand j'ai arrété, j'ai eu de gros soucis. Un peu comme un drogué qui essaie de décrocher, pas qu'un peu d'ailleurs car c'est le même principe d'addiction chimique. Quand je faisais des crises, Juliette me demandais de lui dire tout de suite. Ce que je faisait. Elle alors, venait se lover contre moi et la plupart du temps me prenait en bouche avant de se donner à moi. Et à chaque fois je peux vous assurer que la crise passait sans aucun problème. Je n'ai jamais joué de ça, je n'ai jamais feinds une crise pour l'avoir je vous assure, car j'ai toujours trouvé que ce qu'elle avait fait pour moi dans ces moments là était la plus belle preuve d'amour.

Donc j'affirme, je suis un obsédé du cul, je suis un obsédé du sexe, ma vie ne serait pas parfaite si l'on me disait que jamais plus je ne ferais l'amour à Juliette. D'ailleurs c'est là que les choses se compliquent. Aprés y avoir bien réflechit, je pense que je ne pourrais plus jamais faire l'amour avec une autre personne que Juliette. Elle m'apporte tout le plaisir que j'ai besoin et apparemment je lui apporte celui qu'elle attend. 

Je suis love moi en ce moment c'est fou.
Désolé pour cet article avec tant de pourquoi....

Mais dites moi suis je le seul obsédé sur ce blog?
Bises

Hello la compagnie, bon ce jour l'article se veut plus léger.
En effet hier, on s'est bien pris la tête avec ces tabous et jardins secrets, j'adore ces débats.

Aujourd'hui, nous allons parlé de ces petites choses qui peuvent casser l'ambiance, vous savez ces petits riens qui rendent votre formidable copulation en une catastrophe....Avouez, vous connaissez aussi?

Cette idée m'ait venu, car j'ai vécu cette nuit un truc galère avec Juliette. Elle était sortie avec des amies et moi de mon côté. Je rentre avant elle un peu éméché et vais me coucher. Elle rentre assez tard et me reveille avec des doux calins, je me retrouve vite en elle, et là c'est parfait. 
En levrette, Juliette jouit, une fois, puis deux fois et moi rien. Une éréction toujours mais pas d'éjaculations. Juliette en devient fachée et je la comprends. Elle était prete à continuer mais moi je savais que cela ne viendrait pas. Elle me propose même de la sodomiser, mais non rien y fait, pas d'éjacs ce soir. Je suis un looser. Alors petits conseils pour les jeunes hommes qui lisent ce blog s'il y en a. L'acool nous déshinibe, mais nous bloque aussi la jouissance ultime. Et un homme qui ne jouit pas cela a vite fait de ne pas plaire à votre partenaire.

Bon c'est pas grand chose et demain ce sera oublié, mais bon c'est dommage de gacher une telle nuit avec ce soucis.

On connais tous des moments galère en pleine excitation, ne vous est il jamais arrivé, mesdames et messieurs, en plein coit endiablé d'avoir une folle envie d'uriner. Et là pleins de questions nous traverse l'esprit, lui dire, s'arrêter et reprendre aprés, ou ne rien dire et être patient. Le problème c'est qu'une fois que l'on y pense, on ne peut plus s'oter cela de l'esprit, et là à part pour les urophiles, niveau plaisir cela en gache une partie.

Autre exemple personnel, je suis à la fac, dans une chambre avec une jolie étudiante (je dis jolie car c'est mon blog et cela me ferait chier de vous dire que j'ai couché également avec des moches), on baise car la c'est vraiment cela, on revisite le kamasutra, le plaisir est là et je m'arrête bloqué. La capote s'est craqué, gros moment de panique, débandade directe et oubli de l'éjac faciale que j'allais pratiquer, c'est sûr à cette petite cochonne. Bon cela s'est bien terminé, pas de bébé, et aprés des test de séropositivité, pas de problème.

Une dernière parceque celle là elle me fait encore sourire, je suis la tête enfouit entre les cuisses d'une jolie demoiselle (oui je sais, elle est encore jolie;)) je lui pratique un cuni endiablé, j'adore. Et là le drame, elle me sort un pet énorme, je ne savais pas que les femmes pouvait peter ainsi. Et là en plus j'ai eu le droit au bruit et à l'odeur. Pas de bol, plus trop concentrer, le cunni terminé, et le coit rapide parceque je ne voulais pas m'attarder. Une odeur, vous  n'imaginez même pas.

Avouez que vous avez également connu des moments comme cela...
On se les raconte??

Les premières fois sont les moments les plus importants dans la vie il parait. Les premières fois sexuelles sont donc dans la même lignées, logique.
Ma première relation sexuelle outre la masturbation ( celle là elle était chouette) a été avec un homme. Cette première fois a été horrible car non voulu. Je m'explique, j'avais 14 ans et j'était en vacances avec mon club de sport. Nous étions un petit groupe de potes toujours fourré ensemble (là non il n'y a pas de jeux de mots). Un soir ou nous avions picolé un peu trop (première cuite ce soir là), je vais me coucher à moitié comateux. Je dormais dans la tente du coach homme de 50 ans très bien de sa personne. Dans la nuit je suis réveillé par sa bouche sur mon sexe, je n'avais jamais rien connu de la séxualité auparavant, j'étais pétrifié mais je bandais. Je n'avais aucune force pour dire non, je me laisser faire complétement embrué par l'alcool.
Ce salopard m'a ensuite branlé et je bandais toujours (je sais que certains ne comprendront pas cela mais je m'en fou, ils pensent ce qu'ils veulent). Puis je sentais sa respiration devenir de plus en plus soutenu, il a tenté de m'embrasser et j'ai pu lui dire non. Je n'osais pas faire de bruit car les potes dormaient juste à côté, il savait ce qu'il faisait et avait bien choisit son moment connard qu'il était. Il m' a retourné et sans me prevenir m'a enculé comme une vulgaire chose que j'étais, pas de lubrification, pas de douceur, juste un viol de mon petit cul d'ado et un viol de toutes mes esperances d'une vie belle et naturelle. Je pleurais en silence, de douleur, de haine, du fait que je n'avais pas le courage de bouger, j'esperais que cela se termine. Heureusement pour moi tellement il était excité cela s'est terminé rapidement, mon cul plein de son sperme déguelasse.
Il a retenté de m'embrasser comme si cette douceur soudaine pouvait escuser cette violence. Bourrais comme j'étais j'ai fini par m'endormir au petit matin, et fut une nouvelle fois reveillé par sa bouche sur ma bite, j'ai honte mais j'ai joui dans sa bouche. Je ne voulais pas mais je n'ai su me controler et ce fut la plus terrible erreur de ma vie.
Le reste je vous le raconterais une autre fois car c'est difficile pour moi de l'écrire. Ce blog si futile qu'il peut être aura au moins servi à cela, le raconter à une autre personne que mon psy, car le silence est terrible.

Je voulais raconter ma vraie première fois à 17 avec Sandrine, étudiante en lettre à de ma ville mais là j'en ai plus le courage et je vous conterais cela un peu plus tard pour reprendre avec des choses bien plus belles et joyeuses comme la vie sait nous en donner.

Pour tout les connards de pédophiles qui se perdraient sur cette page, je vous vomis, et si j'en vois un sur mon chemin, je vous tuerais car je n'ai plus 14 ans et j'ai le courage désormais. Vous etes des moins que rien et ne méritais pas de vivre. Vous m'avais fait souffrir et vous me faites souffrir encore alors allez en enfer.

Je sais que c'est pas cool de vous faire lire cela, je sais que je ne suis pas sympa de vous imposé cela, mais cela existe, et cela me fait du bien alors n'hésitez pas à commenter ce billet, à m'en parler, je répondrais volontier et sans honte car c'est ces connards qui devraient avoir hontes.

Je vous embrasse et vous remercie